Chapitre séculier - Fiche à valider
Guillaume Bolomier fonde cette communaté sur le lieu d'inhumation de sa femme et de ses enfants, mais aussi de ses aïeux
Saint-Martin est en relation avec :
Les chanoines sont nommés chapelains dans le plus ancien acte conservé mais il est précis que l'on fonde unam societatem ad instar canonicorum
Vers 1774, un pouillé indique que le nombre de chanoines est réduit à 3 (Arch. départ. Rhône, 1 G 43)
L'église a été détruite et reconstruite à la fin du XIXe siècle
Archives départementales de l'Ain, G 29
Archivio di Stato, Torino, Bollario di Felice V, volume 1, f°126r-127r
S. Guichenon, Histoire de Bresse et du Bugey, Lyon, 1650, t. 2, preuves, p. 200-201
H. Chopin, Occupation et utilisation de l'espace dans le monde canonial au Moyen Âge : l'exemple du diocèse de Lyon, thèse de doctorat sous la direction de N. Reveyron, université Lumière Lyon 2, 2022, 2 vol
Les informations en italique sont incertaines
Auteur(s) de cette notice: Hervé Chopin, le 5/11/2022
Pour citer cette fiche:
Hervé Chopin, « Fiche de la collégiale Saint-Martin de Poncin », Collégiales - Base des collégiales séculières de France (816-1563) [en ligne </?i=fiche&j=8>], version du 5/11/2022, consultée le
La collégiale fut fondée en 1440, peu de temps après que le château de Poncin ne passe sous l'autorité des ducs de Savoie. Il appartenait auparavant à la famille de Thoire. Le chancelier de Savoie Guillaume Bolomier, fondateur avec la duchesse Anne de Chypre qui résida souvent dans ce château, se fit inhumer dans l'église. On a conservé la plaque tumulaire dans la nouvelle église reconstruite en 1886-1887