Chapitre séculier - Fiche à valider
Dès la construction, en 1157, une chapelle castrale est édifiée, elle est placée sous l'invocation de saint André et sert de paroisse au comte et au personnel de la collégiale
Saint-Etienne est en relation avec :
Ecole capitulaire
Manassès de Villemaur est le premier doyen de la collégiale et archidiacre de l'Eglise de Troyes
Barthélémi de PLancy est qualifié d'écolâtre de la collégiale Saint-Etienne
Le 6 mars 1221, mention est faite dans les lettres communes d'Honorius III de l'écolâtre maître Rodulphe : "magistro Rodulfo scolastico sancti Stephani Trecensis dispensatur cum eo super defectu natalium quum a patre in sacris ordinibus constituto de soluta genitus fuerit, ut possit ad sacros ordines promoveri, et ad alios legitimos actus admitti, nullam tamen ecclesiasticam dignitatem absque apostolicae sedis speciali recipiat" (Papal Letters, Honorius III, n°0003166, Reg. Vat. 11, c. 459, fol. 91)
Le 1er juillet 1279, le chanoine Robert procède à la distribution d'argent pour la totalité du personnel canonial, il y a 43 chanoines
maître Jean de Luc est écolâtre et chanoine de la collégiale en 1279
Bibliothèque nationale de France, latin 17098, cartulaire de la collégiale Saint-Etienne
Archives départementales de l'Aube, 6 G 1*, 6 G 7, 6 G 1619
P. Corbet, Les fondations et la vie canoniale en Champagne des origines au XIIIe siècle, mémoire de Maîtrise, Université de Reims, 1972
A. Lamauvinière, De la Cité des comtes à une Cité de Dieu : histoire et topographie des institutions religieuses à Troyes du XIe au XIVe siècle, thèse de doctorat, Université de Reims, 2004
Les informations en italique sont incertaines
Auteur(s) de cette notice: Abel Lamauvinière, le 27/7/2022
Pour citer cette fiche:
Abel Lamauvinière, « Fiche de la collégiale Saint-Etienne de Troyes », Collégiales - Base des collégiales séculières de France (816-1563) [en ligne </?i=fiche&j=532>], version du 27/7/2022, consultée le
Initialement comtale grâce à Henri le Libéral, la collégiale devient royale dès le décès de Jeanne de Navarre, épouse du roi de France, Philippe le Bel, le 2 avril 1305 et le demeure jusqu'à la Révolution