Chapitre séculier - Fiche à valider
Clément VII, par une bulle datée d'Avignon en 1389, réunit la cure de Ray au chapitre. Désormais et jusqu'à la Révolution, l'un des chanoines exerce les fonctions curiales et porte le titre de curé
Archives départementales de la Haute-Saône, G 30 bis
M. Barbier-Roussel, ''Le bourg castral de Ray-sur-Saône'', Haute-Saône Salsa, supplément annuel au n° 64, octobre-décembre 2006, p. 3-14
dir. Société d'Agriculture, Lettres, Sciences et Arts de la Haute-Saône, ''Ray-sur-Saône'', dans La Haute-Saône. Nouveau dictionnaire des communes, Vesoul, 1973, t. 5, p. 70-79
Les informations en italique sont incertaines
Auteur(s) de cette notice: Frédéric Genévrier, le 31/7/2022
Pour citer cette fiche:
Frédéric Genévrier, « Fiche de la collégiale Saint-Pancrace de Ray-sur-Saône », Collégiales - Base des collégiales séculières de France (816-1563) [en ligne </?i=fiche&j=420>], version du 31/7/2022, consultée le
L'église paroissiale de Ray-sur-Saône figure dans un privilège du pape Pascal II, daté de 1105 et mentionné par la chronique de Saint-Pierre de Bèze