Notre-Dame
Chapitre séculier - Fiche en cours
Frise chronologique
Iconographie
Localisation
Localisation administrative actuelle
- Ruynes-en-Margeride (Cantal, France)
Géographie religieuse médiévale
- Diocèse de Saint-Flour (province ecclésiastique de Bourges) depuis 1317
Chronologie 
- Fondation en 1353 par Dieudonné de Canilhac, évêque de Saint-Flour
Transformations de l'établissement
Transformation de l'institution 
État antérieur
- Communauté de prêtres (communauté masculine) entre circa 1275 et 1353
État du chapitre
- Chapitre séculier (communauté masculine) à partir de 1353
Transformation du bâti 
Bâtiment du chapitre
- Collégiale séculière
Effectifs
Chanoines et dignitaires 
- 6 bénéficiers indéterminés à partir de 1353
État actuel du site
- En élévation partielle
Documentation
Sources manuscrites
-
Arch. départ. du Cantal, 8 G 1-5
Bibliographie
-
H. Chopin, "Les collégiales du diocèse de Saint-Flourau Moyen Âge", dans A. Massoni, Collégiales et chanoines dans le centre de la France du Moyen Âge à la Révolution, Limoges, 2010, p.37-56
-
E. Coudy, Monographie de la commune de Ruynes (autrefois Ruines), Paris, 1926
Les informations en italique sont incertaines
Auteur(s) de cette notice: Hervé Chopin, le 6/11/2022
Pour citer cette fiche:
Hervé Chopin, « Fiche de la collégiale Notre-Dame de Ruynes-en-Margeride », Collégiales - Base des collégiales séculières de France (816-1563) [en ligne </?i=fiche&j=214>], version du 6/11/2022, consultée le
En 1333, Jean XXII a pourvu Garin de Canilhac du bénéfice de prieur séculier de Notre-Dame de Ruynes, vacant par résignation de Raymond de Canilhac entre les mains de Bertrand de Montfavès, protonotaire apostolique et cardinal diacre de Sainte-Marie in Aquiro. il est précisé que l'église n'était pas collégiale