Chapitre séculier - Fiche à valider
Le corps de saint Licinius, évêque et comte d'Anjou, est vénéré dans cette église, il fait l'objet d'une translation en 1491. Au XVIIe siècle, la plus grande châsse de la collégiale contient les reliques de saint Maimbeuf. Une indulgence de cent jours est concédée en 1460 par les cardinaux pour ceux qui auront contribué à la reconstruction de cette église
Saint Maimbeuf, mort vers 660, établit une communauté monastique périurbaine qui prendra ensuite son nom pour vocable
Le prieur disparaît après le XIIIe siècle et on ne rencontre plus de dignitaire, le chantre n'étant qu'un officier
Bibliothèque municipale d'Angers, ms 768-769
Archives départementales du Maine-et-Loire, G 693-770, 8 G 2
A. Longnon, Pouillés de la province de Tours, Paris, 1903 (Recueil des Historiens de la France. Pouillés, 3), p. 185, p. 224, p. 243
J.M. Matz, "Chapitres et chanoines séculiers d'Angers à la fin du Moyen Age (milieu XIVe-début XVIe siècle)", Archives d'Anjou, mélanges d'histoire et d'archéologie angevines, t. 3, 1999, p. 35, p. 38
J.M. Matz et F. Comte, Diocèse d'Angers, Turnhout, 2003 (Fasti Ecclesiae Gallicanae, 7), p. 5
Les informations en italique sont incertaines
Auteur(s) de cette notice: Vincent Tabbagh, le 12/7/2022
Pour citer cette fiche:
Vincent Tabbagh, « Fiche de la collégiale Saint-Maimbeuf de Angers », Collégiales - Base des collégiales séculières de France (816-1563) [en ligne </?i=fiche&j=196>], version du 12/7/2022, consultée le
En 1702, la collégiale est unie au grand séminaire d'Angers