Chapitre séculier - Fiche valide
Achèvement de la construction de l'église Notre-Dame entre 1100 (environ) et 1120
Plus ancien doyen attesté en 1119 ou 1120. Le doyen a double prébende
Election du doyen par les chanoines (sans doute dès avant 1367)
Chaque chanoine à son tour. Partage avec le pape au XVe siècle, mal appliqué
Archives départementales de la Côte-d'Or, G 2652 n°1, n°3, n°6, G 2480 et suivants
A. Longnon, Pouillés de la province de Lyon, Paris, 1904 (Recueil des Historiens de la France. Pouillés, 1)
M. Petitjean, "Le doyen de la collégiale Notre-Dame de Beaune", Recueil des travaux du Centre beaunois d'études historiques, t. 11, 1992, p. 19-40
E. Vergnolle, R. Benoit-Cattin, B. François (et alii), La collégiale Notre-Dame de Beaune. Côte-d'Or, Paris, 1997 (Images du Patrimoine, 161)
Les informations en italique sont incertaines
Auteur(s) de cette notice: Jean-Pierre Brelaud, le 3/5/2021
Pour citer cette fiche:
Jean-Pierre Brelaud, « Fiche de la collégiale Notre-Dame de Beaune », Collégiales - Base des collégiales séculières de France (816-1563) [en ligne </?i=fiche&j=150>], version du 3/5/2021, consultée le
La date de 970 indiquée pour la fondation dans le martyrologe-obituaire de Notre-Dame est un ajout tardif. Plus ancienne attestation des chanoines de Notre-Dame en 1120. Un acte non daté (entre 1098 et 1106) évoque les clercs de Beaune qui se trouvent alors dans l'église Saint-Baudèle