Chapitre séculier - Fiche en cours
Cette église viennoise située non loin du Rhône et dont le cloître roman est toujours conservé fut pendant un bref moment de son existence une collégiale. Elle joua au même moment le rôle de chapelle palatine sous Louis l'Aveugle. Elle fut régularisée et redevint un monastère bénédictin à partir des années 940
Vers 940, les chanoines laissent place aux moines
Saint-André-le-Bas est en relation avec :
Louis l'Aveugle, roi de Provence, est qualifié recteur de Saint-André-le-Bas en 920. Un acte de 924 désigne les chanoines comme les clercs de l'empereur
Cartulaire de l'abbaye Saint-André-le-Bas de Vienne, ordre de Saint Benoît; suivi d'un Appendice de chartes éinédites sur le diocèse de Vienne (IXe-XIIe siècles), publié par C.-U.-J. Chevalier, Lyon, 1869
N. Nimmegeers, Evêques entre Bourgogne et Provence. La province ecclésiastique de Vienne au haut Moyen Age (Ve-XI siècle), Rennes, PUR, 2014, p. 250, 254-255
Les informations en italique sont incertaines
Auteur(s) de cette notice: Hervé Chopin, le 25/7/2022
Pour citer cette fiche:
Hervé Chopin, « Fiche de la collégiale Saint-André-le-Bas de Vienne », Collégiales - Base des collégiales séculières de France (816-1563) [en ligne </?i=fiche&j=1350>], version du 25/7/2022, consultée le
A parti de 881 au plus tard, l'établissement n'accueille plus des moines mais des chanoines. Ceux-ci desservent l'église au même titre que la cathédrale Saint-Maurice et l'église Sainte-Marie. Le roi Boson s'en empare