Chapitre séculier - Fiche à valider
Cette collégiale a aujourd'hui disparu. Son emplacement est incertain, mais elle était située à l'intérieur des remparts de la cité, vers le sud. Elle reçut rapidement le droit de constituer une paroisse et d'avoir un cimetière propre.
Le sacriste-curé est présenté à l'évêque non par le seigneur mais par l'abbé bénédictin de Saint-Pierre de Chalon
Archives départementales de la Saône-et-Loire, G 271-294
Gallia christiana, t. IV, Instrumenta, col. 258-259 n°XLIX
éd. G. Mollat, Lettres communes de Jean XXII, Paris-Rome, 1904-1947, n°18050
U. Plancher, Histoire générale et particulière de la Bourgogne, Dijon, 1741, t. II, Preuves, p. 180-181 n°CCXXXVII
V. Tabbagh, "Les fondations de collégiales en Bourgogne aux XIVe et XVe siècles", dans Les collégiales dans le midi de la France au Moyen Age, actes de l'atelier-séminaire des 15 et 16 septembre 2000 (Carcassonne), dir. M. Fournié, Carcassonne, 2003, p. 193-218
C. Courtépée, Description générale et particulière du duché de Bourgogne, Dijon, 1847-1848, t. 3, p. 223-224
A. Martinet, "Note sur le sceau de la collégiale Saint-Georges de Chalon-sur-Saône", Mémoires de la Société éduenne, t. 24, 1896, p. 35-40
J. Madignier, Diocèse de Chalon-sur-Saône, Turnhout, 2016 (Fasti Ecclesiae gallicanae, 15), p. 8
Les informations en italique sont incertaines
Auteur(s) de cette notice: Vincent Tabbagh, le 31/7/2022
Pour citer cette fiche:
Vincent Tabbagh, « Fiche de la collégiale Saint-Georges de Chalon-sur-Saône », Collégiales - Base des collégiales séculières de France (816-1563) [en ligne </?i=fiche&j=382>], version du 31/7/2022, consultée le
Le sacriste exerce en même temps la cure des âmes de la paroisse