Chapitre séculier - Fiche valide
Au Xe siècle, les chanoines avaient la garde du corps de saint Symphorien
Une tentative de régularisation, avortée, par don à l'abbaye de Fleury, aurait eu lieu sous Grégoire VII, qui laissa vivre les clercs comme ils l'entendaient
Saint-Symphorien est en relation avec :
P. Jaffé, Regesta pontificum romanorum, Leipzig, 1885, t. I, n°5240
A. Deléage, Recueil des actes du prieuré de Saint-Symphorien d'Autun, de 696 à 1300, Autun, 1936
Patrologie Latine, t. 148, col. 632
dir. N. Gauthier et J. C. Picard, Province ecclésiastique de Lyon. Lugdunensis prima, Paris, 1986 (Topographie chrétienne des cités de la Gaule, 4), p. 44
Gallia christiana, t. IV, col. 436
J. Madignier, Diocèse d'Autun, Turnhout, 2010 (Fasti Ecclesiae gallicanae, 12), p. 7
Les informations en italique sont incertaines
Auteur(s) de cette notice: Vincent Tabbagh, le 1/4/2020
Pour citer cette fiche:
Vincent Tabbagh, « Fiche de la collégiale Saint-Symphorien de Autun », Collégiales - Base des collégiales séculières de France (816-1563) [en ligne </?i=fiche&j=356>], version du 1/4/2020, consultée le
Cette communauté a été fondée par Euphronius, prêtre, futur évêque d'Autun, entre 440 et 450, selon la règle de saint Antoine et saint Basile