Chapitre séculier - Fiche valide
La crypte abrite les reliques de saint Amâtre, évêque d'Auxerre, à partir du IXe siècle. Geoffroy de Champallement (1052-1076) rétablit l'autorité des évêques d'Auxerre sur cette communauté qui était passée en patrimoine privé. L'église est reconstruite au XIIe siècle après l'introduction des chanoines réguliers


La communauté adopte la règle de saint Augustin en 1131

Saint-Amâtre est en relation avec :
M. Quantin, Cartulaire général de l'Yonne, Auxerre, 1854-1860, t. I, n°164
dir M. Sot, Les Gestes des évêques d'Auxerre, t. I, Paris, 2002, p. 72-73, 270-271
Gallia christiana, t. XII, col. 357
R. Louis, Autessiodurum christianum: les églises d'Auxerre des origines au XIe siècle, Paris, 1952, p. 30-34
dir. N. Gauthier et J. C. Picard, Province ecclésiastique de Sens, Paris, 1992 (Topographie chrétienne des cités de la Gaule des origines au milieu du VIIIe siècle, 8), p. 60-61
dir. C. Sapin, Auxerre, Paris, 1998 (Documents d'évaluation du patrimoine archéologique des villes de France, 16), p. 35, p. 48
Les informations en italique sont incertaines
Auteur(s) de cette notice: Vincent Tabbagh, le 27/7/2022
Pour citer cette fiche:
Vincent Tabbagh, « Fiche de la collégiale Saint-Amâtre de Auxerre », Collégiales - Base des collégiales séculières de France (816-1563) [en ligne </?i=fiche&j=235>], version du 27/7/2022, consultée le


Connue par sa mention dans la liste d'Aunaire